Cycle cinématographique
Panafricain

The Dead Tell No Tales (Karingana, Os Mortos nao Contam Estorias)

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d’Inadelso Cossa

Moz.–All. exp. sans dialogues 2019 coul. 11min (vidéo num.)

The Dead Tells No Tales (Karingana, Os Mortos nao Contam Estorias) confronte les souvenirs de la guerre civile mozambicaine au paysage aride d`aujourd`hui et présente une oeuvre poétique sur le traumatisme, la terreur et l`expulsion.

Inadelso Cossa

Inadelso Cossa est un réalisateur, producteur et directeur de la photographie basé au Mozambique. Membre de l’Academy of Motion Picture Arts and Science, fondateur de la société de production 16mmFILMES depuis 2006, ses films abordent des thèmes tels que la mémoire post-coloniale, le traumatisme de l’après-guerre civile, le discours silencieux et l’amnésie collective au Mozambique.

L’histoire officieuse de son pays est toujours le véhicule de son cinéma où le réalisateur se positionne personnellement car il estime qu’il est de son devoir de participer à la trame de la mémoire du Mozambique.

Son premier long métrage documentaire : A Memory in Three Acts a été présenté en première mondiale au festival IDFA – International Documentary Festival d’Amsterdam, Pays-Bas, 2016 et a depuis participé à des festivals de cinéma tels que le festival international de Göteborg en Suède 2017, o Indie Lisboa – International Independent Film Festival de Lisbonne, Portugal 2017, le festival international du film de Durban, Afrique du Sud, 2017, Zanzibar International Film Festival 2018 entre autres festivals importants.
Le film a remporté le prix spécial du jury au Festival international du film de Zanzibar en 2018. et le prix de la commission flamande ou de l’Unesco pour le meilleur documentaire africain à Afrika film festival Leuven- Belgique 2020.
Il a été invité à participer en tant que jury aux festivals IDFA à Amsterdam 2018, Doc Fest Sheffield 2018 au Royaume-Uni et jury World Press Photo 2020 .

Ce film sera suivi de la projection de Mother, I’m Suffocating.This Is My Last Film About You

En présence de Rasha Salti (curatrice) et Djamel Kerkar (cinéaste)

→ séance suivie d’un débat modéré par Louisa Babari (artiste visuelle)